Parce qu’Osuris vous offre une solution:
OSURIS (http://geocms.osuris.fr), basé sur la solution geOrchestra, offre un ensemble d’outils interopérables et libres, incluant un gestionnaire de métadonnées, un serveur de données spatialisées et un visualiseur cartographique. En d’autre termes, il est possible:
D’une façon ou d’une autre, tout converge vers une mise à disposition accrue des données de la recherche. Si cela peut paraitre être une contrainte, il y a également des avantages à cela:
INSPIRE impose aux autorités publiques de porter à connaissance leurs données géographiques en environnement via des outils spécifiques et interopérables sur Internet. Il s’agit de :
L’objectif est de favoriser la pérennisation, le partage et la réutilisation de données dans le domaine de l’environnement. OSURIS permet de répondre à ces objectifs.
Cette politique de rendre publiques les données acquises par les organismes publiques est déjà une règle dans plusieurs pays, notamment les Etats-Unis. On pourra noter par exemple le site du Shuttle RadarTopography Measurement (SRTM), offrant depuis près de 15 ans la possibilité de télécharger gratuitement et immédiatement un Modèle Numérique de Terrain de qualité à 90m de pas sur toute la planète. Similairement, le Global Biodiversity Information Facility (GBIF) offre un accès à des données sur la biodiversité. Ces produits sont abondamment utilisés par les chercheurs du monde entier.
Concernant les données de la recherche, de plus en plus de structures – souvent des observatoires – ont mis en place des outils internet interopérables et en parallèle lancé des campagnes d’alimentation de ces outils. Notons également que les Zones Ateliers travaillent dans la même direction.
Via la directive INSPIRE, certains acteurs institutionnels (IGN ou le BRGM par exemple) ont mis en ligne différentes façons d’accéder à leurs données, de la simple visualisation au téléchargement, selon l’interlocuteur.
Les publications dans les journaux scientifiques donnent rarement l’accès aux données de base, spatialisées et sous format numérique. A la longue, une fois les publications finalisées, il arrive que les données se perdent, faute d’une documentation adéquate et de personnes ressources.
Pour autant, certains de vos travaux publiés sont peut être déjà sur le Web. En effet, des éditeurs de revues scientifiques proposent des produits permettant d’afficher des cartes publiées chez eux sous forme géoréférencée sous Google Earth. C’est par exemple la cas du produit Geofacets d’Elsevier. Il ne s’agit pas là des données de bases, mais plutôt de résultats cartographiques. Osuris vous propose un moyen de maîtriser la mise à disposition de la données.